Classe >
L'alimentation
Glanage, banquet, voyage apprenant et coordination locale, 4 chantier-écoles pour fabriquer l’Atlas Pratique de l’Alimentation en Commun : "Panser le Vivant".
![]() |
![]() |
![]() |
---|
L’Ecole des communs de l’alimentation a pour objet d’identifier, de rendre visible et de venir en appui à des pratiques alimentaires. Cet objet se déploie sous deux aspects : celui des communs et celui de l’alimentation. Elle entend ainsi se mettre en-quête d’une alimentation en commun.
![]() |
![]() |
![]() |
---|
En survol
4 écosystèmes, 4 problématiques sur l'alimentation, des années d'apprentissages, d'expérimentations et de réalisations (voir chantiers ci bas)
Résultat exceptionnel
-
5 Atlas pratiques issus de ces années d'immersion participante.
-
3 vidéos montages sur les enjeux de l’alimentation en commun
-
10 entretiens vidéos explorant diverse thèmes de l'alimentation solidaire
-
et 8 autres réalisations d'importance
les chantiers
intentions mobilisatrices
Interconnection : par un travail d’enquête et différents chantiers, structurer le champ d’intermédiations entre acteurs des communs naturels, urbains, culturels, à l’échelle translocale (voir les différents chantiers : Vercors, Marseille, Toulouse, Montreuil). Développer la communauté en reliant les acteurs.
Visibilisation : la ressource alimentaire fait tenir en elle un réseau d’interdépendances au sein des pratiques de communs, pourtant invisibilisé par le caractère fragmenté et/ou subalterne de la question alimentaire au sein des pratiques (aspects productifs, économiques, culturels, naturels, sociaux...). Rendre visible ce réseau, c’est re-présenter la transition alimentaire comme à la fois un enjeu de culture et de nature. C’est constituer la ressource dans sa complexité et ainsi mieux adresser le débat public sur les enjeux de démocratie alimentaire entre habitants, commoners et collectivités.
Capacitation et renforcement : faire émerger l’acteur-réseau constitué par ces pratiques, dans leur continuité sur le territoire, de la production à la consommation. Il s’agira enfin de contribuer à doter ces pratiques de transition d’une capacité normative qui leur fait encore largement défaut. Co-construire le “set of rules” qui permettra de rendre légitimes ces pratiques.
Pour en apprendre d'avantage sur ce contexte
- Voir l'article Les thèmes au coeur de la classe sur l'alimentation
Survol des écosystèmes
Le territoire d’application du projet est structuré en 4 espaces/chantiers :
-
Du Blé au pain oeuvre en milieu rural, entre boulangerie et agriculture pour mettre en place une filière courte de production et transformation de blé dans la Communauté de Communes du Massif du Vercors.
-
Les Murs à Pêches déploient leur action en milieu urbain, du jardinage au festival, pour mettre en place une charte d’usages de la prairie respectueuse de la biodiversité.
-
Mixagrumes et le Galline Felici s’organisent enfin à l’échelle translocale, entre mangeur.euse.s et paysan.ne.s, autour du commerce des agrumes. Dans le quartier des Ponts Jumeaux à Toulouse, ils travaillent à développer les formes de ravitaillement solidaires entre paysans et urbains.
-
L’Après M s’occupe de restauration et d’entraide alimentaire en périurbain, assemblant et distribuant des colis d’une part, récupérant et transformant des aliments de l’autre.
Réalisations
-
Article: L’alimentation en commun par Hugo Martorell (2024)
-
Article : Un pain d'altitude au Vercors par Hugo Martorell (2024)
-
Article: Le premier fast social food francais par Hugo Martorell (2024)
-
Article: Un groupement d'achat tropical à Toulouse par Hugo Martorell (2024)
-
Article: Une friche parisienne controversée par Hugo Martorell (2024)